Au Japon, l’une des principales causes de problèmes de voisinage est sans aucun doute les ordures. On peut difficilement faire pire que le refus d’un sac par les services de la ville pour non-conformité. C’est d’ailleurs l’un des premiers éléments pour lesquels nous avons été briefés par les voisins. Les règles et catégories sont nombreuses et diffèrent de ville en ville :
À Tokyo, nous disposons dans l’immeuble d’un local permettant d’y déposer les ordures 24h/24. Cela nous avait même été vanté comme un avantage significatif. Il faut dire que le calendrier de collecte lui-même peut s’avérer un véritable casse-tête en cas d’absence lors des matins de collecte où il faut déposer les sacs officiels avant 08 h 30. Certaines catégories n’étant collectées qu’une fois par mois.
Hasard du calendrier, nous ne sommes qu’à deux semaines du nettoyage collectif biannuel où tous les habitants sont invités à désherber devant chez eux. Avec trois façades donnant sur la rue (et une contre-allée en prime du côté Sud), nous avons été servis. Heureusement, nous avons pu compter sur l’aide des enfants.
Nous sommes donc sereins à l’approche de l’inspection du 26 mai.
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